Résumé généré par l’intelligence artificielle :
L’article aborde le concept d’**actionnariat salarié** comme un mécanisme pour rapprocher le capital et le travail, reflétant une vision post-guerre qui cherche à humaniser et donner du sens au travail dans une société en reconstruction. Cette idée s’aligne sur les principes de la théorie de la participation et de l’engagement des salariés, inspirée par les courants de pensée de la gestion participative et de l’entreprise comme communauté.
D’après les auteurs, l’actionnariat salarié permet de créer un lien solide entre les salariés et l’entreprise, favorisant ainsi une implication plus profonde et un sentiment d’appartenance. Cette approche se rapproche des théories de motivation de Maslow et Herzberg, qui soulignent l’importance de la reconnaissance et de la participation pour la satisfaction et la motivation au travail.
En intégrant les salariés dans le capital de l’entreprise, cette stratégie vise à dépasser la simple relation salariale pour instaurer un partenariat où les salariés sont également des acteurs du développement et de la réussite de l’entreprise. Cela évoque les idées de la théorie des ressources humaines, qui considère les salariés comme des ressources clés et non simplement comme des coûts.
En somme, l’actionnariat salarié est présenté comme une solution pour reconstruire un ordre social plus équitable et humain, en alignant les intérêts des salariés et de l’entreprise, et en renforçant ainsi la cohésion et la performance globale de l’organisation. Cette vision s’inscrit dans une perspective gaulliste de rapprochement entre le capital et le travail, visant à créer une société plus harmonieuse et coopérative.
Source : https://www.lopinion.fr/economie/actionnariat-salarie-et-partage-de-la-valeur-un-gaulliste-se-doit-de-dire-cela-par-jacques-godfrain-et-bernard-reygrobellet