Powers, vingt mille lieues sous les mers – par Bernard Quiriny

Résumé généré par l’intelligence artificielle :
Dans « Vingt Mille Lieues sous les mers » de Jules Verne, l’auteur démontre une maîtrise exceptionnelle dans la fusion de plusieurs éléments complexes. Cette œuvre, publiée en deux parties en 1869 et 1870, incarne le genre de la science-fiction et de l’aventure, caractéristique de la vision verneienne.

Verne réussit à intégrer une documentation scientifique rigoureuse avec une réflexion profonde et une intrigue captivante, sans compromettre le rythme narratif. Cette approche rappelle les principes du réalisme scientifique, un courant littéraire qui cherche à combiner la précision scientifique avec la narration fictionnelle. Ce mélange de science et de fiction est en ligne avec les idées de penseurs comme Gaston Bachelard, qui soulignait l’importance de la rationalité et de l’imagination dans la construction du réel.

L’œuvre explore également des thèmes de liberté et d’indépendance, symbolisés par le Capitaine Némo et son sous-marin, le _Nautilus_. Cette quête de liberté peut être rapprochée des idées de Jean-Jacques Rousseau sur le contrat social et la recherche de l’autonomie individuelle.

Enfin, la structure narrative de Verne, caractérisée par une planification minutieuse et une rédaction soignée, reflète ses rites de création bien définis, comme décrits dans ses entretiens. Cette méthode, qui combine un synopsis initial, un plan de chapitres et des phases de réécriture, montre une approche systématique et méthodique, similaire à celle des écrivains du XIXe siècle comme Gustave Flaubert, qui valorisait la précision et la structuration dans le processus d’écriture[2].
Source : https://www.lopinion.fr/opinions/powers-vingt-mille-lieues-sous-les-mers-par-bernard-quiriny

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