Trump Runs the Milei Playbook

Résumé généré par l’intelligence artificielle :
Le président argentin Javier Milei et l’ancien président américain Donald Trump partagent certaines similitudes dans leur approche gouvernementale, bien que leurs contextes et idéologies soient distincts. Milei, un libertarien convaincu, s’inspire des théoriciens comme Friedrich Hayek et Murray Rothbard, ce qui se reflète dans ses politiques visant à réduire drastiquement le rôle de l’État et à promouvoir l’ouverture des marchés[3][5].

Trump, en suivant un modèle similaire, a lancé une série d’actions exécutives visant à réorganiser et à réduire les agences gouvernementales, notamment en créant le Department of Government Efficiency (DOGE) avec l’aide d’Elon Musk. Ce département cible les programmes jugés de valeur douteuse ou alignés sur des valeurs politiques opposées, comme les initiatives de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), et les financements pour les organisations non gouvernementales (ONG) à l’étranger[5].

Les deux leaders utilisent des stratégies similaires pour affaiblir leurs opposants politiques en coupant les financements publics aux institutions perçues comme hostiles à leur vision. Milei a abolit plusieurs ministères et a remplacé des agences par de nouvelles structures loyales à son programme, tandis que Trump vise des agences comme l’USAID et le Department of Education, en les réorganisant et en réduisant leur personnel et leurs financements[5].

Ces actions s’inscrivent dans une logique de gouvernance autoritaire et anti-étatiste, caractéristique des courants de pensée libertariens et conservateurs radicaux, où la loyauté au programme du leader est une condition essentielle pour les fonctionnaires. Cette approche reflète une méfiance profonde envers l’appareil bureaucratique et une confiance dans les mécanismes de marché pour réguler la société.
Source : https://www.theamericanconservative.com/trump-runs-the-milei-playbook/

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