Résumé généré par l'intelligence artificielle :
Andreas Malm, souvent présenté comme un défenseur de l'écologie, est critiqué pour sa position qui défend essentiellement le capitalisme d'État et la classe dominante. Selon les critiques, Malm travestit l'incapacité du système capitaliste à résoudre les problèmes écologiques en blâmant l'inertie de l'État, rather than remettre en question les fondements du capitalisme lui-même.
Malm propose d'utiliser les mécanismes de l'État bourgeois pour imposer des mesures environnementales, notamment en éliminant le secteur des énergies fossiles, mais cela sans remettre en cause la structure fondamentale du capitalisme. Cette approche est vue comme une forme d'instrumentalisme tragique, où l'État est considéré comme un arbitre impartial capable d'agir pour le bien commun, une idée qui relève de l'idéologie bourgeoise traditionnelle.
Cette vision de Malm s'éloigne des principes du marxisme et du matérialisme historique, qui insistent sur la nécessité de transformer les relations de production et les structures de pouvoir pour résoudre les crises écologiques. Malm préfère une approche qui maintient les illusions sur la démocratie bourgeoise et la capacité de l'État à contraindre le capitalisme à adopter des pratiques plus durables, sans aborder les contradictions intrinsèques du système capitaliste[1][5].
Cette critique souligne que les solutions écologiques proposées par Malm ne sont pas suffisantes pour résoudre la catastrophe écologique, car elles ne remettent pas en question les intérêts des classes dominantes et la logique d'exploitation du capitalisme. Une véritable transformation écologique nécessiterait une remise en cause plus profonde des structures économiques et sociales, alignée sur les principes de la théorie marxiste et de la critique radicale du capitalisme[3].
Source : https://fr.internationalism.org/content/11557/andreas-malm-rhetorique-ecologique-defense-letat-capitaliste-partie-2