Dans son ouvrage et ses chroniques, Erwan Le Noan défend vigoureusement les principes du libéralisme dans un contexte où those-là sont souvent remis en question. Selon lui, la liberté et le respect de la dignité humaine sont des combats constants, essentiels pour maintenir l’idéal démocratique. Le Noan critique les politiques égalitaristes qui, selon lui, conduisent à une déprime collective, sanctionnent l’effort individuel et bloquent la mobilité sociale. Il argue que ces politiques, en visant une égalité de fait, contredisent l’idéal démocratique où chaque individu doit être maître de son destin grâce à ses propres efforts.
Cette perspective s’aligne sur les idées de Tocqueville, qui soulignait que les sociétés démocratiques sont animées par un principe d’égalité des droits, mais où la mobilité sociale et les opportunités doivent être préservées. Le Noan défend ainsi une vision libérale qui valorise le mérite et conteste les rentes, refusant l’assignation des individus à des groupes ou des castes, comme c’était le cas dans la société d’Ancien Régime. Cette approche libérale, inspirée par des penseurs comme Beaumarchais, met en avant la confiance et la protection de l’individu, et la défense de la liberté comme fondement de la dignité humaine[1][3].
Source : https://www.lopinion.fr/opinions/comment-etre-encore-liberal-dans-ce-monde-la-chronique-derwan-le-noan