Le concept de mondialisme, distinct de la mondialisation, est au cœur de l’article en question. Le mondialisme, selon des penseurs comme Paul James et Joseph Nye, se réfère à une idéologie qui vise à dépasser les cadres des États-nations et à créer un monde caractérisé par des réseaux de connexions multicontinentales[1].
L’article suggère que, tandis que l’attention publique est distraite par des figures politiques comme Donald Trump, des forces profondes et souvent invisibles poussent vers une intégration mondiale. La création d’une direction générale de la mondialisation au Quai d’Orsay illustre cette tendance, révélant une volonté de dissoudre les identités nationales dans un contexte mondialiste dominé par des influences anglo-saxonnes.
Cette dynamique est renforcée par l’implication de technocrates formés par des programmes comme le « Young Global Leaders » de Klaus Schwab, qui détient des pouvoirs de décision significatifs, remplaçant souvent les ministres traditionnels. Cette évolution reflète l’idée de mondialisme comme une idéologie qui nie l’utilité des nations et vise à créer un « homo mondialisus », un citoyen du monde sans identité autre que celle du consommateur global[1].
En somme, l’article met en lumière les mécanismes et les acteurs qui poussent vers une mondialisation idéologique, où les frontières nationales sont progressivement effacées au profit d’une gouvernance et d’une identité mondiales.
Source : https://lesalonbeige.fr/et-pendant-que-le-monde-a-les-yeux-rives-sur-donald-trump-le-mondialisme-avance/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=et-pendant-que-le-monde-a-les-yeux-rives-sur-donald-trump-le-mondialisme-avance