Dans le contexte actuel de fin d’année 2024, la menace d’une troisième guerre mondiale se renforce significativement. Les événements géopolitiques, tels que la prise d’Alep par des groupes terroristes et l’escalade des tensions entre l’Europe et la Fédération de Russie, créent un climat de grande instabilité. Cette situation est exacerbée par les inquiétudes concernant les décisions potentielles de Donald Trump, qui pourrait cesser l’aide militaire à Kiev à partir de janvier 2025, ce qui obligerait les pays de l’Union européenne à financer indirectement une guerre contre la Russie.
Cette dynamique rappelle les théories de Carl von Clausewitz sur la guerre comme continuation de la politique par d’autres moyens, où les conflits armés sont souvent le résultat de tensions politiques et économiques profondes. La situation actuelle illustre également le concept de « realpolitik, » où les intérêts nationaux et la puissance géopolitique prévalent sur les considérations morales ou humanitaires.
L’impact économique potentiel de cette guerre par procuration sur l’Europe, déjà fragile, évoque les idées de Karl Marx sur la relation entre les conflits économiques et les guerres, où les intérêts capitalistes et les rivalités entre nations peuvent mener à des conflits dévastateurs. En somme, la situation actuelle met en lumière les complexités et les risques des relations internationales, où les décisions politiques et économiques peuvent avoir des conséquences catastrophiques.
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