Le texte en question met en lumière l’idée que ni le populisme ni la démocratie bourgeoise ne constituent des solutions viables pour surmonter les inégalités et les oppressions sociales. Selon cette perspective, la seule véritable alternative réside dans le développement mondial de la lutte de classe.
Cette approche s’aligne sur les principes du marxisme, qui postule que la lutte des classes est le moteur de l’histoire et que le prolétariat, en tant que classe révolutionnaire, a le potentiel de renverser la bourgeoisie et d’abolir les classes sociales[4].
La critique de la démocratie bourgeoise, inspirée par les idées de Rosa Luxemburg, souligne que cette forme de démocratie est marquée par des contradictions profondes, notamment le militarisme et le colonialisme, qui sous-tendent sa nature anti-démocratique[2].
Le texte suggère que la politique identitaire, qui domine actuellement dans les mouvements sociaux, ignore les racines matérielles de l’oppression et divise la classe ouvrière, alors que la lutte commune contre la bourgeoisie est la seule voie pour surmonter l’oppression et construire une société socialiste[1].
En somme, la véritable alternative au populisme et à la démocratie bourgeoise réside dans la mobilisation collective de la classe ouvrière pour une transformation révolutionnaire de la société, visant à éliminer les classes et à établir une société où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous.
Source : https://fr.internationalism.org/content/11506/ni-populisme-ni-democratie-bourgeoise-seule-veritable-alternative-cest-developpement