Résumé généré par l'intelligence artificielle :
La rétrospective consacrée à David Hockney à la Fondation Louis Vuitton met en lumière plus de 400 œuvres couvrant sept décennies de création, confirmant la dimension polymorphe de son œuvre et son inscription dans l’histoire de l’art contemporain[1][4]. Son travail, imprégné d’innovations techniques et d’explorations visuelles, trouve un écho direct dans l’esthétique de la modernité telle que pensée par Walter Benjamin, notamment par la capacité de Hockney à renouveler constamment la perception du regardeur face à l’image. Ce dialogue entre l’artiste et l’espace architectural conçu par Frank Gehry rappelle la théorie du Gesamtkunstwerk chère à Richard Wagner, où l’art total résulte de la fusion entre œuvre, lieu et spectateur. En s’appropriant aussi bien la peinture traditionnelle que les nouveaux médias, Hockney interroge le rapport au temps, à la mémoire et à la couleur, rejoignant ici les pistes ouvertes par Gilles Deleuze sur la vision et la répétition créative. L’exposition offre ainsi une immersion intellectuelle et sensorielle, réaffirmant la capacité de l’art à questionner les frontières de la représentation et à déplacer les cadres de la pensée contemporaine[2][4].
https://www.fondationlouisvuitton.fr/en/events/david-hockney-25
Source : https://www.revuedesdeuxmondes.fr/david-hockney-a-la-fondation-louis-vuitton-le-sacre-du-printemps/