Le texte en question met en lumière le rayonnement international de plusieurs innovations culturelles nées en France, notamment à travers des événements et des lieux emblématiques comme les Francofolies et le Puy du Fou. Ces initiatives culturelles illustrent le pouvoir de l’art à créer des liens et à jeter des ponts entre les cultures, particulièrement dans un contexte de fragmentation mondiale.
D’un point de vue conceptuel, cette dynamique peut être analysée à travers la théorie de la « culture comme capital social » de Pierre Bourdieu. Selon Bourdieu, la culture peut être considérée comme une forme de capital qui facilite les interactions et les échanges sociaux, renforçant ainsi les liens communautaires et les identités collectives[4].
Le Puy du Fou, en particulier, incarne cette idée en créant des spectacles et des expériences immersives qui ancrent l’histoire et le patrimoine dans l’émotion et la culture. Cette approche artistique, reconnue mondialement pour son excellence, démontre comment la culture peut transcender les frontières et unir les gens autour de valeurs partagées[1][5].
Enfin, cette propagation de la culture française à l’échelle mondiale peut être vue comme un exemple de la théorie de la « glocalisation » de Roland Robertson, où les phénomènes culturels locaux prennent une dimension globale tout en conservant leur spécificité et leur authenticité. Cela souligne le rôle crucial de la culture dans la construction de liens globaux et la promotion de la compréhension mutuelle.
Source : https://www.revuedesdeuxmondes.fr/florilege-des-francofolies-au-puy-du-fou-la-france-inspire-le-monde/