Le journalisme, hélas, à sa science : le néopositivisme

Résumé généré par l’intelligence artificielle :
Le texte en question critique la crise actuelle du journalisme en la situant dans un contexte de transformations profondes des sociétés politico-institutionnelles et de la postmodernité. Here are the key points reformulated and enriched avec des références à des courants de pensée et des penseurs pertinents:

Le journalisme contemporain est confronté à une crise profonde, marquée par le néopositivisme, un phénomène qui réduit often la réalité à des faits bruts et objectifs, sans considération pour les contextes et les médiations symboliques. Cette approche néopositiviste, inspirée par le positivisme classique, ignore les dimensions ontologiques et dialectiques de la réalité, comme le soulignent les théories de Michel Freitag sur la médiation et la société postmoderne[1].

Dans ce contexte, la gauche politique a quasi disparu du paysage politique, et les prévisions sur des événements géopolitiques, comme la résistance de l’Ukraine, sont souvent erronées. Cela reflète une faille dans la capacité du journalisme à historiciser et à contextualiser les événements, une critique que l’on retrouve chez des penseurs comme Noam Chomsky, qui argue que les médias servent souvent les intérêts des puissants[1].

La crise du journalisme est également caractérisée par une désymbolisation du monde, où les représentations symboliques et les idéologies sont réduites à de simples voiles masquant la réalité. Cette vision anhistorique et non dialectique évite de s’interroger sur le rôle de la représentation et de l’idéologie dans la formation des consciences et des rapports sociaux[1].

En somme, le texte met en lumière la nécessité pour le journalisme de dépasser le néopositivisme et de réintégrer des approches plus critiques et dialectiques, inspirées par des théoriciens comme Géraldine Muhlmann et Michel Freitag, pour mieux comprendre et représenter la complexité de la réalité contemporaine.
Source : https://www.revuedesdeuxmondes.fr/le-journalisme-helas-a-sa-science-le-neopositivisme-2/

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