Résumé généré par l'intelligence artificielle :
L’article interroge le rôle de l’art comme instrument politique, à travers le prisme de la participation d’Israël à l’Eurovision 2025, alors que des accusations de crimes de guerre et de génocide à Gaza sont portées par des organisations internationales comme Amnesty International et la Cour internationale de justice. S’inspirant de la pensée d’Herbert Marcuse sur la neutralité illusoire de la culture, l’argument central souligne comment l’Eurovision, en tant qu’événement hautement médiatisé, constitue un levier de légitimation internationale, voire d’« art-washing », concept que l’on peut rapprocher des analyses de Pierre Bourdieu sur la fonction symbolique de l’art dans la reproduction des rapports de domination.
La tribune mobilise des concepts du droit international — crimes contre l’humanité, colonisation, déplacement forcé — pour exhumer la dimension morale et politique de la participation d’un État accusé de telles exactions à une manifestation culturelle paneuropéenne. Elle remet en cause l’universalité des principes européens, questionnant la cohérence de l’Union européenne de radio-télévision, qui avait exclu la Russie, mais maintient Israël, posant ainsi la question du « deux poids, deux mesures », notion chère à Hannah Arendt dans L’impérialisme. Enfin, l’appel lancé s’inscrit dans une réflexion sur la responsabilité collective de l’Europe et la mémoire des victimes, soulignant, dans la lignée de la philosophie politique contemporaine, le lien entre justice internationale et espaces de représentation symbolique.
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Source : https://regards.fr/on-ne-chante-pas-sur-des-charniers-on-ne-celebre-pas-un-genocide-israel-doit-etre-exclu-de-leurovision/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=on-ne-chante-pas-sur-des-charniers-on-ne-celebre-pas-un-genocide-israel-doit-etre-exclu-de-leurovision